La sarbacane sportive

 

 

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 Le test DOM de sarbacane sportive et des informations sur le matériel


fiche technique
sur demande

 

Fiche technique réalisée par Micheline Dehédin (UNaDOM - Rambouillet Olympique)
Ne pas copier et réutiliser sans autorisation, même partiellement (texte et photos) ©

 

Comme pour tous les sports d'adresse, notamment de tir à la carabine, on peut dire pour la sarbacane
       « On ne naît pas bon tireur, on le devient par un apprentissage méthodique et rationnel ».

Certains d’entre nous ont d’ailleurs pu constater que quelques conseils suffisent parfois pour améliorer très nettement un blason (avoir une position stable, un coup de souffle contrôlé…).

L'épreuve de sarbacane sportive du DOM

Comme le dit le règlement (consulter le livret de participation, version décembre 2011),

  • il s'agit d'un tir sur une cible (format A4) à trois zones (3, 5 ou 7 points), à 10 m pour les hommes, 8 m pour les femmes et les jeunes, garçons et filles de moins de 14 ans.
  • le test consiste en 3 volées de 10 flèches (ou 6 volées de 5 flèches) soit 30 traits pour un total maximum de 210 "points sarbacane". Le tireur dispose de 3 à 6 minutes par volée. La durée totale des volées est limitée à 20 minutes
  • les concurrents tirent debout, les 2 pieds sur le sol du poste, sans aucun appui extérieur. Aucun point du corps (hors les pieds) ne doit toucher un élément quelconque du pas de tir. Tout élément additionnel et tout dispositif tendant à apporter un avantage sont prohibés (guidon, poignée de soutien, faisceau laser, chargeurs…).
Une démonstration dans un gymnase et sa mise en oeuvre immédiate en intérieur ou en extérieur
   


Pour être précis... Déroulement de l'épreuve de sarbacane sportive pour le Décathlon

Comme pour toutes les épreuves DOM, le test de sarbacane sportive se déroule en présence d'un contrôleur habilité, après vérification de la mise en place effective de toutes les mesures de sécurité.

  1. Au préalable, positionnement des cibles à hauteur réglementaire (1,60 m) et marquage précis de la ligne de tir (mesure au décamètre), à 10 mètres du blason pour les hommes et 8 mètres pour les femmes et les jeunes, garçons ou filles de moins de 14 ans.
    Il est préférable de définir une ligne de tir unique, bien matérialisée, utilisée par tous les concurrents quelque soit la distance de tir, et de placer les blasons sur des supports positionnés à la bonne distance, en fonction de l'âge et du sexe.
    Les concurrents peuvent utiliser leur matériel personnel (voir plus loin). Dans le cas de sarbacanes prêtées par le club organisateur, celles-ci ont été nettoyées et désinfectées au préalable. Sarbacanes et traits (fléchettes) reposent sur une table à proximité des concurrents.
  2. Le contrôleur vérifie le matériel de chaque concurrent, notamment la couleur des traits (une par concurrent en veillant à ce que les flèchettes soient différentes (couleurs distinctes) et facilement identifiables pour deux concurrents utilisant la même cible et tirant simultanément ou successivement). Il attribue un blason à chaque tireur et rappelle les ordres de tir. Il s'assure que concurrents et spectateurs sont à au moins 2 m derrière la ligne de tir.
  3. Au signal "En place", les tireurs s'avancent vers le pas de tir avec leur sarbacane équipée de fléchettes, face à leur cible et se mettent en position d’attente, sarbacane verticale, extrémité reposant sur le bout du pied. Le tireur doit avoir les deux pieds derrière la ligne de tir (ligne au sol, corde …) sans la dépasser, sans autre appui que ses pieds au sol.
  4. Au signal "Tirez", le concurrent tire une volée de 10 flèches. Il dispose de 6 minutes par volée. Si une fléchette tombe de la sarbacane à coté du tireur et qu'elle est récupérable sans avoir à franchir la ligne de tir, le tireur peut la récupérer. S'il ne peut pas la récupérer dans ces conditions, le point est compté 0. A la fin de sa volée, le concurrent pose sa sarbacane sur le support prévu et revient en position de repos, 2 m derrière la ligne de tir.
  5. Au signal "Flèchettes" ou "Résultats", les concurrents se rapprochent des blasons mais attendent la présence du contrôleur pour retirer leurs traits et compter les points. Le contrôleur note les points de chaque concurrent (nombre de traits dans chaque zone de la cible et total obtenu à la volée). En cas de plantage d'une flèchette dans une autre, son score est celui de la flèchette dans laquelle elle s'est plan-tée. Quand une flèchette touche la limite de la ligne noire d'un cercle et qu'il est difficile de juger, le point le plus haut est accordé. Les refus de la cible ne sont pas rejoués. (l'aiguille ne se plante pas).
  6. Le tireur peut alors retirer ses flèchettes de la cible et rejoindre l'aire d'attente au repos. La durée maximale totale des 3 volées (30 traits) est de 20 minutes.
  7. En début de compétition, une première volée de 10 traits, qualifiée de volée d'essai est toujours accordée et n'est pas comptabilisée dans le décompte des points de la partie.
  8. Rassemblement sur l'aire de repos à la fin de la troisième volée, pour l'incontournable nettoyage du matériel (tube et embouchure) avec écouvillons et lingettes désinfectantes, imprégnées de solution antiseptique. Les embouchures peuvent être mises à tremper dans une solution adaptée.

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Le matériel

La pratique de la sarbacane s'accompagne d'une connaissance précise du matériel utilisé. Cette présentation concerne principalement la sarbacane moderne "moderne" mais il existe d'autres types de sarbacanes.

La Sarbacane moderne (le Blowgun)

Pour le test DOM, la longueur maximale de la sarbacane est de 122 cm, son diamètre de 0,4" soit 10 mm intérieur
. L'embouchure canalise le souffle et empêche d'avaler la fléchette (modèle anti retour). La poignée, le porte fléchettes et le viseur ne sont pas obligatoires.

La sarbacane elle-même est le tube de tir, elle est composée de plusieurs parties :

  • Le tube : généralement en aluminium, le tube est l'élément principal de la sarbacane (C). Une sarbacane peut n'être que ce simple tube (A). Certaines sarbacanes standard (B) du commerce se composent de plusieurs tubes, 2 ou plus (C1, C2), assemblés entre eux avec une fixation étanche (D). Il est très possible de construire sa propre sarbacane avec un simple tube d'aluminium d'un diamètre adapté (calibre 0.4" = tube de 12 mm, intérieur 10 mm).
  • L'embouchure : partie en forme de petit entonnoir (E) qui se pose sur la bouche, elle est utile pour bien canaliser le souffle à l'intérieur du tube, et surtout, elle comporte un dispositif permettant d'empêcher la fléchette d'être avalée (système anti-recul) .
  • Le porte-fléchettes : accessoire optionnel, il s'agit d'un cercle permettant de porter ses fléchettes sur la sarbacane elle-même (F) : 5 6 ou 10 fléchettes. Le décathlobien peut en réaliser un personnel en découpant un anneau de polystyrène ou d'une autre matière.
  • La poignée : accessoire optionnel, c'est une zone en mousse permettant de poser la main sur la sarbacane d'une manière adhérente (G).
  • Le viseur : accessoire optionnel, il s'agit de la partie opposée à l'embouchure (H), permettant non seulement d'aligner son tir mais aussi de protéger une sarbacane verticalement posée à terre.

Voici une photo de modèles modernes réels :

La gamme "Terminator" (USA)
Ø 0,4" : le bon choix pour un tir à 10 m, pour les tests du DOM
Ø 0,5" : plus puissante
. admise en compétition. Les traits sont destructeurs des cibles en papier

Disponibles dans 10 tailles différentes s'étendant en longueurs de 18" (45,72 cm) à 72" (182,88 centimètres ) ; en un ou deux morceaux (pièces), disponibles en noir, bleu, rouge, pourpre ou couleurs de camouflage. Longueur maximale autorisée en compétition (tir à 10 m) : 48"= 121,92 cm. Diamètre intérieur autorisé en compétition : 0.4 pouces = 1.016 cm ; 0.5 pouce = 1.27 centimètres.

Les traits (fléchettes, aiguilles)       

Pour le DOM, on utilise des fléchettes "pointes" dont le poids et la longueur sont libres. Le diamètre maximum autorisé de la pointe est de 5 mm. Le cône de la flèche ne doit pas pouvoir pénétrer dans la cible.

Divers types de fléchettes de sarbacanes utilisées pour le test DOM:

  • les fléchettes pointes (wire) :fléchettes en forme de pointes longues et fines similaires à des aiguilles (A). Ces fléchettes sont adaptées pour les tirs sur cibles-papier, autorisées et préconisées sur cibles FSSA, mais ne sont pas adaptés à des tirs sur cibles-objets. Certaines fléchettes pointes possèdent une grosse tête en plastique (A2) non autorisées sur cibles FSSA mais permises pour le tir aux objets.
  • les fléchettes lances (spear) : fléchettes pointes à extrémités aplaties comme des lances (B), plus fines et plus tranchantes. Ces fléchettes sont particulièrement appréciées pour la chasse. Elles sont autorisées sur cibles FSSA depuis octobre 2005.
  • les fléchettes clous (spike) : fléchettes courtes similaires à des clous (C), plus épaisses et plus courtes que les fléchettes pointes. Ce sont des fléchettes intermédiaires pour différentes cibles non-fragiles. Certains modèles plus destructeurs sont plus longs et ont des têtes-lances (C2). Ces fléchettes sont autorisées sur cibles FSSA depuis octobre 2005, cependant elles sont largement moins performantes que les fléchettes précédentes.
  • fléchettes bouchons (stun) : fléchettes non-pointues (D), destinées à tirer sur les cibles-objets. Certains modèles reprennent les embouts standards pourvus d'une tête-acier (D2). Il est impossible de les utiliser sur cibles FSSA mais possible de les utiliser pour le tir aux objets.
  • fléchettes plastique (soft-tip) : ces fléchettes (E) sont à utiliser sur des cibles de jeu prévues à cet effet. Il est impossible de les utiliser sur cibles FSSA et déconseillé pour le tir aux objets.
  • fléchettes hélicoptères (helicopter) : fléchettes non pointues possédant des ailettes tournantes destinées à des tirs artistiques (F) en hauteur. Il est impossible de les utiliser sur cibles FSSA et sur objets.

Il existe d'autres types de fléchettes, non utilisées pour les tests DOM (fléchettes de chasse (G), fléchettesallemandes (H), projectiles de Loire (I) et fléchettes papier (J)

Le blason (cible)

La cible standard de 18 cm de diamètre est un ensemble de 3 zones circulaires concentriques.
         Cible disponible en téléchargement sur le site

La cible est imprimée au centre d'une feuille de format A4. Les diamètres des cercles de la cible sont de 6 cm, 12 cm et 18 cm.

Les zones sont : le jaune valant 7 points, le rouge valant 5 points et le bleu valant 3 points, à partir du centre.

Chaque zone dispose d'un cordon interne noir de 1 mm d'épaisseur.

La hauteur réglementaire du centre de la cible est de 1,60 m au-dessus du sol pour tous les tireurs.

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Conseils pour le tir à la sarbacane

Les conseils de tir pour le test de sarbacane sportive sont proches de ceux donnés pour le tir à l'arc ou le tir au pistolet ou à la carabine, du moins pour la concentration et le nécessaire respect des autres compétiteurs, bien sûr. Nous ne les reprendrons pas ici. Consultez les fiches techniques correspondantes...

 

Conseils plus spécifiques à la sarbacane sportive

Placement sur le pas de tir et posture
Jambes au même niveau ou pied avancé ? Peu importe … Dans les cas deux cas, la position du corps doit être stable (pieds écartés de l'ordre de la largeur des épaules) et confortable. La position du corps est très importante car c’est d’elle que dépend l’équilibre musculaire du tireur. Elle peut se caractériser par le fait que si, d’un mouvement naturel, on lève la sarbacane vers la cible, la direction est bonne. Si la direction est mauvaise, il ne faut pas compenser par une action du tronc ou des bras, mais il faut modifier la position des pieds. C’est un des points les plus importants pour réussir un bon résultat : avoir trouvé la bonne position naturelle. Certains, de peur de ne pouvoir retrouver cette position idéale, font marquer par un voisin la position de leurs pieds sur le sol avec une craie. Si la bonne position est prise, l’arme est dans le bon plan vertical, il n’y a plus qu’à viser le centre de la cible. Des exemples en situation de découverte... (non spécialistes !)

 

Chargement de la sarbacane

Assurez-vous toujours que le fût est libre.
Poussez la flèchette dans l'embouchure de sécurité avec le pouce jusqu'à ce que vous sentiez un « clic ». La sarbacane est "armée". La fléchette ne doit plus pouvoir tomber en arrière si on la place verticalement.

Prenez une respiration adaptée et posez votre bouche sur l'embouchure. Dirigez l’extrémité du tube vers la cible et soufflez sèchement (contraction du diaphragme).


Tenue de la sarbacane

Pronation ou supination ? Main de soutien de la sarbacane proche ou plus éloignée de la bouche ? Chacun fait comme il le souhaite et est le plus performant, après plusieurs essais et un minimum d'entraînement...

Démonstration d'un pratiquant régulier et prise en mains lors d'un test DOM
Pour viser la cible, gardez les deux yeux ouverts et concentrez-vous sur le blason.
Si cela présente des difficultés, il est souhaitable de disposer un cache translucide devant l'œil qui ne vise pas ; de cette façon les deux yeux restent ouverts, sans fatigue et reçoivent à peu de chose près, la même quantité de lumière.

C'est le relief apporté par une vision binoculaire qui nous permet d’apprécier les distances et de mieux nous repérer dans l’espace car une sarbacane ne comporte pas toujours de point de visée précisément matérialisé, ligne de mire ou hausse, qui viennent aider le tireur dans sa visée. Celle-ci s'effectue en regardant le bout du canon et en le plaçant par rapport à la cible (s'il n'y a pas de viseur).

Technique de visée

Pour trouver l'endroit où viser, différents paramètres vont entrer en jeu. Cela va dépendre de la taille du tireur, de la puissance de son coup de souffle, de sa vue et bien sûr de ses perceptions personnelles. Conseils pour les débutants :

 * Si l'on se place à seulement deux mètres de la cible, on s'aperçoit que pour toucher le centre de la cible, il faut déjà procéder à un léger réglage (c'est à dire un décalage) du canon en latéral et en vertical. De manière plus ou moins importante en fonction de la personne et de ses propres critères.

 * Ensuite, après un taux significatif de réussite (90 à 95%) dans la première situation de découverte, le tireur recule d'un mètre, et recommence l'opération. Sauf cas exceptionnel, le décalage doit augmenter. Pour faciliter le repérage, on peut aussi mettre des repères sur la cible ou porte cible avec des gommettes de couleur ou de la craie. Bien évidemment, ce procédé n'est pas autorisé en compétition. Répéter l'opération ainsi de suite jusqu'à arriver à la distance de tir officielle de 10 mètres. Le tireur aura acquis son décalage et réglé son coup de souffle au fur et à mesure.

Technique du souffle

Pour un débutant, pour pouvoir progresser, la première chose à acquérir est une bonne régularité du coup de souffle, de façon à avoir toujours la même trajectoire du trait. Ce qui reste du domaine de l'absolu, mais avec l'entraînement et la pratique, les impulsions données au trait deviennent plus régulières.
Le coup de souffle doit devenir en quelque sorte un geste réflexe, de façon à ce que le tireur n'ait plus qu'à se concentrer sur la tenue du canon et la visée.

Il faut souffler un coup bref, comme quand on tousse ! Bien penser qu'il faut percuter le trait, et non pas simplement le pousser, pour qu'il puisse prendre de la vitesse. Un peu de la même façon que lorsque, autre exemple, on veut envoyer au loin un noyau de cerise.
Le souffle ne part pas des poumons, ce qui génèrerait des mouvements parasites de la cage thoracique, mais provient d'une contraction vive et rapide du diaphragme et des abdominaux.

Si les paramètres de la visée peuvent être assez facilement définis et relativement maîtrisés, le souffle est évidemment un élément déterminant pour atteindre son objectif. Si l’on souffle « trop fort », on tire trop haut, « trop faible », on tire trop bas… Au-delà de cette évidence, il est intéressant d’analyser comment cette énergie se transmet. On peut remarquer que le souffle n’est pas qu’une simple quantité d’air expulsée à débit constant dans un laps de temps donné. Le débit du souffle peut en effet (pour une même quantité d’air expulsé) varier (fort au début, faible à la fin) suivant une courbe de « pression » variable. Cette variation de pression va avoir une influence directe sur l’accélération, le comportement de la fléchette et son passage dans le tube de la sarbacane !

Il est déconseillé de commencer une partie directement par la volée d'essai, sans échauffement. Quelques exercices respiratoires (par exemple, inspirations / expirations par chaque narine, par la bouche; apnées poumons gonflés et/ou vides, des séries de volées à "vide", sans projectiles, à coup de souffle constant…) sont très souhaitables.

"Par expérience, je constate simplement que suivant mon état de fatigue, la sensation de souffler plus ou moins fort peut être variable et se traduire en cible par des variations de hauteur sensibles. Apprendre à maîtriser son souffle est donc un élément déterminant d’un tir réussi. A force d’entraînement, il apparaît aujourd’hui pour moi davantage du domaine du « feeling » que de celui du « rationnel ». Et c’est ce qui fait sans doute toute la magie du tir à la sarbacane…Si nous n’étions que « des machines à tirer », je pense que cette discipline perdrait beaucoup de son charme et de son mystère car, en révélateur de nos émotions, elle nous apprend à accepter avec une égale humeur le succès aussi bien que l’échec, et surtout, à mieux se connaître …" Pierre Emmanuel Debergh

Comptage des points

Chaque contrôleur peut personnaliser sa méthode de comptage des points. Une grille de marquage peut être proposée. Bien évidemment, les décathloniens attendent que le contrôleur habilité ait noté les points de la volée pour retirer leurs fléchettes !

Les impacts sont jugés si besoin avec une loupe. Si l’impact touche le cordon, le comptage du point est fait à l’avantage du tireur (cercle intérieur – compté 5 et non 3).


feuille de marquage proposée
 (téléchargement)

Cas particulier : le robin

Le deuxième projectile a traversé l'embase d'un projectile précédent.

Il prend la même valeur que lui : 5

Nettoyage et désinfection du matériel

La pratique de la sarbacane sportive n'est pas une activité très coûteuse... Les décathloniens, dont ce n'est pas la seule activité sportive, s'équipent facilement. Notez les porte-fléchettes de fabrication locale, les lingettes désinfectantes anti-bactériennes avec les fils de coton utilisées pour l'écouvillonage des tubes, la solution désinfectante pour nettoyer les embouchures...
Fin de séance active et conviviale après le test

 

Quelques adresses et références

Vendeurs de matériel

Olie's Darts Département : 45
Téléphone: 02.38.56.03.00 Site Web (http://olies-darts.com/) EMail (olies-darts@olies-darts.com)
Plus grand vendeur par correspondance de fléchettes et de sarbacanes, proposant le catalogue spécial sarbacane Terminator le plus complet depuis 2005 à des prix compétitifs (pionnier). Partenaire FSBA. Sarbacanes 24", 30", 36", 42", 48", 54", 60", 72". Vend aussi les BigBore.

France Archerie Département : 75
Téléphone: 01.43.44.00.24 Site Web (http://www.france-archerie.com)
Boutique d'archerie dans le 12è arrondissement. Option sarbacanes. Modèles Terminator et coréens. Sarbacanes 24", 36"(bi), 48"(bi). Blasons officiels

Comptoir des associations

www.comptoirdesassociations.com
catalogue en téléchargement
Matériel très varié et prix intéressant

Pour des informations plus détaillées, contactez le contrôleur DOM Didier Besson : besdid@hotmail.com
et les sites spécialisés, notamment celui de la fédération de tir à la sarbacane, d'où nous avons extrait certaines informations (matériel, conseils de tir) et que nous remercions pour leur aide.

France Sarbacane Sportive Amateurs
Site National du Tir à la Sarbacane Sportive, http://fssa.fr/


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 Extrait de la table de cotation                                                            [ Haut de page ] 

Pour 30 fléchettes, tir à 10 m (table provisoire - période de validation de l'épreuve)

points
score
1100
173
1000
157
900
138
800
120
700
98
600
79
points
score
500
61
400
46
300
33
200
21
100
11
10
1

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responsables rédactionnels :
Micheline Dehédin (webmestre du site), Didier Besson (contrôleur DOM, co-auteur de l'article)
et Jean Dehédin (président de la Commission nationale du DOM au CNOSF)

Les photos sont la propriété de leurs auteurs et de l'UNaDOM
et ne peuvent être utilisées sans leurs autorisations.

Fiche technique réalisée par Micheline Dehédin (UNaDOM - Rambouillet Olympique)
Ne pas copier et réutiliser sans autorisation, même partiellement (texte et photos) ©


28 janvier, 2016

 

 

 

 

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